Bangladesh: un million de consultations effectuées à Cox’s Bazar
08.02.2019
Johura Begum, une réfugiée rohingya de 12 ans, étudie dans une madrassa (une école coranique, la seule école disponible pour la plupart des enfants rohingyas). Avec son frère Hyrul Amin, ils sont les seuls survivants d’une famille de 16 personnes, tuées lors d’une attaque de l’armée birmane sur leur village. 11.08.2018
© Robin Hammond/NOOR
Un Rohingya transporte du bois à travers le « méga camp » de Kutupalong- Balu Khali dans le district de Cox's Bazar. 11.08.2018
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Zaida Begum, une réfugiée Rohingya de 20 ans tient son quatrième enfant dans ses bras. Omma Habiba, est née le jour même, à 2 heures du matin. 12.08.2018
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Des voisins et des membres de la famille se rassemblent devant la maison de Sawmiraj Khatun, future mariée de 18 ans. Elle doit épouser Mohib Bullah, 22 ans. Les deux familles se trouvent dans ce camp de fortune depuis 1991, après avoir fui au Bangladesh lors des précédentes vagues de violence contre les Rohingya dans l'État de Rakhine. Les fiancés sont donc tous deux nés dans le camp. 12.08.2018
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Des enfants rohingyas dansent lors d'une cérémonie de fiançailles dans un camp de réfugiés du district de Cox's Bazar, au Bangladesh.
Cox’s Bazar, Bangladesh, 12.08.2018
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Sawmiraj Khatun, une future mariée de 18 ans, est emmenée en tricycle de sa maison à celle de la famille du marié, Mohib Bullah, 22 ans. 12.08.2018
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Rohima, 25 ans, a fui de L'État de Rakhine vers le Bangladesh après une attaque de l’armée sur son village: « ils ont jeté mon enfant de 4 ans dans le feu parce qu’il pleurait et on tué mon mari. J’ai perdu ma famille, mon enfant, mon mari et mes voisins ». 10.08.2018
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